Hypnose Grenoble – Deuil

Comment l’hypnose peut-elle vous aider face à un deuil?

L’hypnose ericksonienne peut vous aider à accepter la mort, comme finalité de la vie. L’hypnose peut vous aider à vous libérer de la culpabilité que vous portez peut-être. L’hypnose vous aide également à transformer et à intégrer cette place vide, occupée jadis par cet(te) être bien aimé(e). L’hypnose vous aide à transformer le lien qui vous unit avec cet(te) être bien aimé (e). L’hypnose peut vous aider à reprendre à votre rythme votre propre vie. L’image ci-dessous, représente mon image personnelle de ce qu’est le deuil travaillé en hypnose ericksonienne:

Faire son deuil – l’image du deuil aujourd’hui.

Nous vivons dans un monde moderne, qui change très rapidement. Un monde qui demande que nous accomplissons nos tâches, que nous réussissons, que nous fonctionnons, etc.
Même “faire son deuil” implique qu’il faut accomplir quelque chose pour passer outre, pour continuer vivre, rire, faire des courses, travailler etc. Il faut “FAIRE” le deuil. Je ne pense pas qu’il faut le FAIRE, mais plutôt qu’il faut le VIVRE.

Dans certaines cultures, la personne qui est face à une perte de quelqu’un vit son deuil. Par exemple: Ma grand-mère portait pendant un an des vêtements noir après le décès de son mari. Son entourage était au courant qu’elle vivait un deuil. On parlait de “porter un deuil”, mais moi je trouve, que c’était plutôt VIVRE son deuil. Dans notre monde moderne nous ne portons plus le deuil et nous le vivons plus. La mort et le deuil ont été mis à part, cachés comme un tabou. Le deuil est devenu une chose que nous devons régler. La perte ne se laisse pas régler, mais peut être intégrée dans l’ensemble du cycle de la vie et de la mort.

Vivre le deuil dans mon cabinet d’hypnose à Grenoble est …

Vivre le deuil à votre rythme
Vivre et transformer vos émotions
Conserver et transformer le lien avec l’être bien aimé
Retrouver sa propre vie à son propre rythme
Se libérer de sentiment de honte et de culpabilité
Accepter la vie à travers la mort

(…)
L’amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante.
On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent
Fondre et vivre ; et, d’extase et d’azur s’emplissant,
Tout notre être frémit de la défaite étrange
Du monstre qui devient dans la lumière un ange.

Victor Hugo, les 5 dernières lignes du poème de Les contemplations